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Vidéo associée

https://www.youtube.com/watch?v=xbUT_DLjFsM

Nous avons tous en nous, que nous soyons homme ou femme, du masculin et du féminin.

Nous avons tous eu un père et une mère ou leur équivalent, ce sont nos premiers modèles. En psychanalyse, nous parlerons d’imagos parentales et d’introjection (ou intégration) de ces modèles parentaux via le processus d'identification et d'identification projective théorisé par M. Klein.

Le rapport que nous avons à la féminité ou à la masculinité peut être parfois un peu compliqué, suivant notre histoire et notre vécu. De la relation entre ces deux parties de nous dépendra en grande partie la relation à l’autre.

        

PLAN DE L'ARTICLE

=> Les différences biologiques

=> Des similitudes en chacun de nous

=> L'articulation du féminin-masculin chez la femme

=> L'articulation du féminin-masculin chez l'homme

=> Le masculin féminin dans la société, en nous même, chez l'autre

=> Les symboliques du masculin

=> Les symboliques du féminin

=> L'homme et la femme nouvelle

DES DIFFÉRENCES BIOLOGIQUES

 

Concernant les caractère sexuels primaires, le garçon vient au monde avec un pénis et des testicules et la fille avec une vulve, un vagin, un utérus et des ovaires.

Chez le garçon les organes sexuels sont externes, visibles, pointant vers l'extérieur.

Chez la fille, les organes sexuels sont internes, invisibles, pointant vers l'intérieur.

Ces différences fondamentales vont avoir une conséquence sur la construction de notre psychisme. En effet, sa construction au départ, s'appuie en grande partie sur notre physiologie et nos ressentis physiques (via ce que nous renvoient nos sens externes et internes). Pour plus d'informations sur ce sujet, voir l'excellent livre de R. Spitz " De la naissance à la parole ".

Nous retiendrons ici que, le masculin d'un point de vue physiologique, et nous verrons plus tard symbolique, peut être associé au visible, à l'extérieur, à la flèche (pointe vers), notion d'action et de direction.

Et, que le féminin, toujours d'un point de vue physiologique (et symbolique), peut être associé à l'invisible, à l'intérieur, à la coupe (reçoit), notion d'accueil et de contenance.

 

DES SIMILITUDES EN CHACUN DE NOUS

 

Que nous soyons homme ou femme, nous avons tous eu (pour la plupart), un père et une mère, le père étant en général le référent du masculin et la mère la référente du féminin. Chacun d'entre eux, ayant bien sûr aussi une part féminine et une part masculine, plus ou moins bien équilibrées.

Chaque sexe possède en lui à la fois des hormones féminines et des hormones masculines, ce qui veut dire que de ce point de vue là, nous avons aussi du féminin et du masculin en nous.

Ces deux polarités masculin-féminin ou féminin-masculin vont interagir en nous, en permanence et la majorité du temps de manière inconsciente. Et cela, en fonction de nos modèles introjectés, de notre éducation, de la société, en d'autres mots, en fonction de notre environnement et peut être aussi pour une partie de notre bagage génétique ou autre...

Chez chacun d'entre nous, ce rapport à notre masculin et à notre féminin sera différent.

L'ARTICULATION DU FÉMININ - MASCULIN CHEZ LA FEMME

 

La fille naît d'un corps identique au sien (la mère), cela fera que chez elle, le sentiment de fusion à la mère pourra être vécu de manière plus forte que chez le garçon.

​Naissant d'un corps identique à elle, la fille sera obligée d'aller chercher la différence, au contraire du garçon qui lui naît différent d'emblée.

Ce processus de recherche de la différence, rendra le féminin plus observateur, voire plus passif que le masculin qui lui peut être directement dans l'action, sans passer par la phase d’observation.

 

Le sevrage, qui représente la fin de la fusion symbiotique entre la mère et l'enfant, pourra être plus difficile chez la fille que chez le garçon, pouvant provoquer dans les cas extrêmes une anorexie mentale du nourrisson.

Pour Freud, la petite fille qui doit renoncer au sein lors du sevrage, renonce en même temps à une partie de sa féminité.

Ce qui veut dire que quasiment dès le départ, la femme renonce à une partie de sa féminité et cela restera en elle pour toujours.

Même adulte, la femme aura le sentiment d’avoir été trahie par sa mère lors du sevrage (car elle se sent identique à elle au contraire du garçon). Sa personnalité découlera de cela, elle sera insatisfaite et cherchera en permanence à évaluer (observatrice).

C’est aussi pour cela que souvent, les femmes voient les autres femmes comme des rivales et qu’elles ont du mal à se faire confiance (exemple au travail quand il n’y a que des femmes entre elles). Chez elles, au début d’une relation, c’est la symbiose (solidarité féminine) avant de laisser peu à peu la place à de la rivalité (c’est l’inverse chez les hommes), voire à de la jalousie, de part le sentiment d'avoir été dépossédée de quelque chose par la femme.

Ou encore, une phrase que l’on entendra souvent dans la bouche d’une femme envers son conjoint « ce n’est pas en toi que je n’ai pas confiance, c’est envers les autres femmes ».

 

Chez le garçon c’est différent, il accepte mieux la séparation car ce qu’il voit chez sa mère est distinct de lui, donc pour lui la fin de la fusion est vécu comme quelque chose de naturel.

        

Une première féminité va découler de ce premier rapport à la mère (au sein) jusqu’à l’âge d’environ 18 mois. Jusqu'à là, le père même s'il est présent, n'est pas encore intégré par l'enfant, nous parlerons de fonction maternelle. jusqu'à 18 mois, seul la fonction maternelle existe et le père en fait partie.

Symboliquement dans cette phase, la mère dit à la fille: " C'est parce que tu me ressembles que je peux t'aimer "

 

Suite à cela, l’enfant rentre dans le narcissisme secondaire (qui dépend du retour des autres, de l'image qui nous est renvoyée), le féminin va alors s’étayer sur la rencontre avec le réel et notamment avec le masculin (représenté par le père, la fonction paternelle). Une partie de la féminité va alors se construire à travers cette rencontre.

On a donc deux féminités, une liée à l’archaïque et une autre liée à la rencontre avec le masculin à travers le principe de réalité. Une femme est donc féminine aussi par rapport à la masculinité (rencontre avec la fonction paternelle à partir de 18 mois)

Le premier homme de la vie d'une femme est le père, de lui découlera la féminité « secondaire » (fabriquée à travers la masculinité). C’est cette féminité qui sera visible de l’extérieur, qui sera apparente.

 

Dans le même temps, la masculinité va se construire chez la fille, mais souvent elle restera en retrait, car les valeurs masculines ne sont pas valorisées par notre société chez la fille, encore aujourd'hui même si cela a tendance à changer. Par exemple, souvent les parents ne vont pas accepter la colère chez leur petite fille en disant "ce n'est pas beau une petite fille qui se met en colère", la coupant ainsi d'une grande puissance symbolique. La colère ce n'est ni bien ni mal, tout dépend ce que l'on en fait, mais c'est surtout une énergie d'action et de mouvement très puissante.

Le féminin validé par le masculin (expression du féminin) va alors se construire par dessus le féminin archaïque (potentiel féminin relié à la mère), le masculin restant en retrait dans la plupart des cas.

 

Pour la féminité, il y a deux choses qui se mettent en place, le potentiel féminin relié à la mère et l’expression de cette féminité reliée au père. Si le père limite sa fille dans l’expression de sa féminité, alors la fille sera retenue dans l’expression de son féminin.

De cela découlera aussi le choix du partenaire sexuel et l’expression de la sexualité.

En fait, ce que le masculin a donné comme autorisation va lui permettre d’exprimer plus ou moins ce qu’elle est en tant que femme.

Et, comment a été vécu le rapport à la mère, donnera le féminin interne en quelque sorte, le féminin profond et le rapport que la femme entretient à lui.

En embryogenèse le masculin est une option au féminin, le féminin n’est complet que s’il prend en compte en lui le masculin qui est en fait une part de la féminité.

 

Nous sommes des êtres régis par le principe d'homéostasie, sans cesse à la recherche de l'équilibre.

 

Ceci entraînera une expression compensatoire, par exemple une femme qui peut paraître très féminine extérieurement (féminin visible) pourra en fait douter de son féminin intérieur et ainsi surinvestir son féminin externe, visible. Ou encore, cela pourra être aussi le cas pour une femme ayant un masculin très fort et qui cherchera à le compenser avec un féminin externe (visible) très voyant.

Tous les cas de figures sont possibles, mais à chaque fois il y aura une recherche d'équilibre.

​Cette recherche d'équilibre sera aussi présente dans le couple.

Si une femme a un animus (masculin) fort alors elle cherchera un homme avec une anima (féminin) fort, si elle est narcissique alors elle cherchera la même chose dans le sexe opposé, si elle est homosexuelle elle cherchera la même chose ou le complément dans le même sexe.

La femme qui doute beaucoup va chercher un homme simple qui ne doute pas afin de la rassurer.

 

L'ARTICULATION DU FÉMININ - MASCULIN CHEZ L'HOMME

 

L’homme, lui, obtient d’entrée le statut d’être différent, les choses sont établies dès le début au contraire de la femme, qui a besoin d’observer pour trouver la différence.

​L’homme n’a pas besoin d’observer car la différence est établie, du coup il est réactif immédiatement, il agit sans douter. Moins on doute et plus on est heureux, mais plus on doute et plus on est conscient.

Au contraire de la fille, le garçon n'a pas le sentiment de perdre quelque chose au moment du sevrage, il a le sentiment d'avoir quelque chose en plus, sentiment pouvant être exacerbé par le discours de la mère.

Cependant, comme pour la fille, le garçon est d'abord féminin, la rencontre avec le masculin ne se faisant qu'à partir du 18ème mois.

 

A ce niveau, symboliquement la mère dit au garçon: " C'est parce que tu es différent que je t'aime "

 

A partir du 18ème mois, comme chez la fille, le garçon rencontre le réel (principe de réalité) via le masculin, via le père (la fonction paternelle).

Le masculin va alors commencer à se construire, plutôt fortement, car valorisé par la société, pendant que le féminin va se contracter, car non valorisé par la société. Par exemple, les parents vont dire au petit garçon "ça ne pleure pas un garçon", le coupant ainsi en grande partie de l'accès à sa sensibilité. Or, la sensibilité c'est ce qui nous permet de ressentir et d'être connecté à soi et à fortiori à l'autre.

Nous voyons ici tout l'impact de notre environnement, aussi bien chez la fille que chez le garçon dans la construction, mais surtout l'expression de notre féminin et notre masculin.

Comme chez la fille, l'expression du féminin (le féminin visible) va dépendre du père et de ce qu'il autorise ou pas.

A cela, il convient de rajouter, la peur archaïque du féminin chez l'homme et le rejet de la femme présent dans les religions monothéistes d'une manière générale. Notamment avec le mythe d'Adam et Eve, ou encore avec Pandore et la boîte de Pandore.

Mais surtout, l'angoisse de castration présente chez tout homme de manière générale et s'articulant autour du complexe d’œdipe.

Si l’homme a peur des femmes, c’est qu’en fait il a peur de ses origines, l’identification archaïque d’un homme se fait à une femme (la mère), nous pourrions dire qu’à l’origine, l’homme est une femme, puisque au départ seul la fonction maternelle existe pour le bébé quelque soit son sexe. Et, en embryogenèse le garçon est d'abord féminin avant de devenir masculin.

Le but est alors de se débarrasser de ses peurs endogènes (interne) du féminin puis de celles exogènes (la société).

L’homme au fur et à mesure qu’il avance dans la vie devra assouplir sa part masculine, car si elle devient trop rigide, il ne pourra plus s’adapter. Pour éviter cela, l’homme devra accepter et développer sa part féminine. S’il reste dans le masculin, il n’y aura pas de remise en question et donc pas d’adaptation, au bout d’un moment cela le fera sortir du monde.

Si l’homme refuse sa part féminine, alors il va se durcir de plus en plus et s’il n’arrive plus à s’imposer, il se retirera de la vie sociale. Pour ces hommes, la représentation féminine est un danger (ex. à cause d’une mère très masculine, du coup il ne peut pas être moins masculin que sa mère d’où rejet de la part féminine) ou de l’angoisse de castration.

 

Petit à petit, il va s’exclure de la société car il ne va pas comprendre ce qu’on lui dit et ne pas comprendre que son évolution lui demande d’accepter sa part féminine. Tout amoindrissement, toute faiblesse vont être interprétés comme un manque de virilité, et cela il ne l’acceptera pas.

La réponse de ces hommes est que le problème vient des autres, du monde, ils se renferment alors dans la non communication que l’on retrouve chez les obsessionnels. Ces hommes sont dans l’incapacité de faire le deuil, ils ne renoncent jamais, ils veulent tout le pouvoir (le phallus) sans se rendre compte que c’est impossible en réalité.

 

A un moment donné, le père devra dire au fils qu’il ne doit pas rejeter sa part féminine, mais avant cela le père devra affirmer sa part masculine comme étant irréductible (pour rassurer l’enfant et l’homme en devenir).

 

Bien que le masculin ait besoin d’être transmis par le masculin, celui qui devient le référent du masculin doit montrer que cela ne suffit pas s’il est seul présent, que le féminin doit aussi être présent et accepté.

 

Pour le féminin c’est un peu différent, la petite fille va découvrir sa féminité dans le regard du masculin qui devra la valoriser.

Toutefois, dans les deux cas, nous voyons que c’est le masculin (au travers du père) qui va permettre au féminin de s’exprimer ou pas et ce aussi bien chez le garçon que chez la fille.

 

Un homme coincé dans sa masculinité ne la vivra pas, il sera bloqué à l’intérieur et finira par s’isoler et se désocialiser. Il niera l’avis de l’autre et ne se remettra jamais en question, il sera non seulement dictateur pour les autres mais aussi pour lui.

Comme pour la femme, le principe d'homéostasie est roi et un homme paraissant très masculin (ex. du motard tatoué) pourra en fait douter de sa masculinité ou avoir une part féminine très forte, ou les deux.

Dans le couple, cette recherche d'équilibre sera aussi présente, un homme plutôt féminin sera avec une femme plutôt masculine et vice-versa.

 

LE MASCULIN FÉMININ DANS LA SOCIÉTÉ, EN NOUS MÊME, EN L'AUTRE

Notre société est encore aujourd'hui majoritairement patriarcale et basée sur des valeurs masculines, c'est à dire d'action, de performances, de compétition, de réussite, d'individualisme, de combats, de batailles.

Les valeurs féminines ne sont pas valorisées, écoute, accueil, ouverture, altruisme, coopération.

Tout cela est bien sûr en cours d'évolution, de transformation, toutefois le chemin est encore long.

Comme le disait Gandhi, incarne le changement que tu veux voir en ce monde, ça veut dire que ça commence par chacun d'entre nous.

  • Accueillir ses deux polarités masculin-féminin sans les rejeter, les opposer ou les mettre en rivalités, mais surtout sans les juger.

  • Rechercher une certaine harmonie, une complémentarité et une souplesse dans nos comportements humains, une capacité adaptative renforcée.

  • Pouvoir passer d'une part à l'autre avec aisance selon les moments, selon l'environnement, sans rester figé, la vie c'est le mouvement, tout est mouvement, seule la mort est sans mouvements.

  • Apprendre à les fusionner, puis les séparer, puis à nouveau les fusionner, à notre guise selon les besoins, dans l'ouverture du cœur.

Le rencontre du Féminin - Masculin c'est la Vie, la Créativité à chaque fois renouvelée.

Tendre vers la complémentarité de ces pôles en les développant de façon égale et naturelle. L’équilibre entre le côté masculin et féminin est très important, de cet équilibre dépendra en grande partie notre relation à l’autre

Nous rencontrons l'autre comme on se rencontre, la projection est prépondérante dans nos relations. Ce que je n'aime pas ou ne supporte pas chez l'autre, me renvoie toujours à quelque chose en moi que je n'accepte pas et/ou que je rejette.

On aime l'autre comme on s'aime.

Plus je suis en paix avec moi même, en harmonie et en amour avec toutes les parts qui me composent et plus je suis apte à être en paix avec le monde.

Plus de conflit intérieur = Paix intérieure =  Paix extérieure

LES SYMBOLIQUES DU MASCULIN

 

Le masculin, c’est la force, la puissance fécondatrice, la conscience flèche (action)

Aspect actif, producteur, manifestation de soi par la pensée et l’action (solaire)

Le côté masculin est en rapport avec la force du soi. C’est ce qui vous fera agir avec timidité ou confiance en vous.

La force de votre côté masculin est liée à la valeur que vous vous donnez, si vous croyez en vous, l’estime de soi.

Le côté masculin comprend aussi la capacité à prendre des risques, à passer à l’action.

 

Trace les limites, les contours, le cadre, la structure, donne une direction, agit, pose les règles, la loi (la loi du père symboliquement).

C'est un processus dynamique basé sur le donner - recevoir (lien à la procréation, l'homme donne avant de recevoir).

Capacité à agir, à trancher (choisir), à avancer, à prendre un cap, une direction

Si le masculin est trop coupé du féminin, alors il sera dans l’excès

Ego, soif de pouvoir, rigidité, brutalité seront dominants dans le caractère de l'individu.

Dans un masculin-féminin équilibré chez l'homme, nous pouvons donner l'image du chevalier, qui està la fois guerrier et gentilhomme,  savant et poète.

 

 

LES SYMBOLIQUES DU FÉMININ

Le féminin c’est la bonté, la réceptivité, la conservation, la conscience coupe (recevoir)

Aspect émotionnel, sensible, réceptif, intuitif, maternel (lunaire)

Le côté féminin est basé sur les valeurs que vous attribuez aux autres, la valeur que vous donnez aux autres influence votre être.

Si votre côté féminin est fort vous placez une très haute valeur sur les autres et êtes une personne généreuse. Vous savez ce qui est bon pour les autres et agissez pour les aider.        

Le côté féminin inclut également d’avoir de l’enthousiasme et de l’entrain face à la vie. Il comprend de la ténacité, de la bonté, compassion, patience, écoute, empathie.

Amour, tendresse, générosité, compassion, émotion, sensibilité, réceptivité, intuition

C'est un processus dynamique basé sur le recevoir - donner (lien à la procréation, la femme reçoit avant de donner).

Capacité à se remettre en question, à évoluer, à s'adapter.

Si le féminin est trop coupé du masculin, alors il sera dans l’excès.

Étouffement, retenue ou épanchement, perte, doute

Dans un féminin-masculin équilibré chez la femme, nous pouvons donner l'image de la déesse initiatrice, comme dans le tantra où il est dit que c'est la femme qui initie l'homme à l'équilibre intérieur et la connexion au "divin en soi".

        

L'HOMME ET LA FEMME NOUVELLE

Masculin et féminin se complètent, ensemble l'humain s'humanise

Principe Féminin (Shakti) = Matière - Énergie - Substance

Principe Masculin (Shiva) = Structure - Forme - But

A eux deux, ils forment l'Équilibre, la Création, l'Harmonie, l'Univers, la Vie.

 

Les 7 caractéristiques de la femme nouvelle

 

  • Elle a compris que sa valeur n’avait rien à voir avec sa sexualité ou son physique

  • Elle ne souhaite pas être en compétition avec les autres femmes

  • Elle ne rejette pas son féminin par peur de perdre le pouvoir

  • Elle se préoccupe de son impact sur les autres et sur le monde

  • Elle n’a pas besoin du regard de l’homme pour aimer son corps

  • Elle recherche l’alliance avec le masculin et a compris la valeur des relations amoureuses

  • Elle est ouverte et en constante évolution

 

Les 7 caractéristiques de l’homme nouveau

  • Il n’est pas gouverné par son égo

  • Il accepte ses émotions et n’a pas peur de les montrer

  • Il utilise sa force pour faire le bien

  • Il respecte les femmes et honore le féminin en elle et en lui

  • Il n’est pas contrôlé par sa sexualité

  • Il se soucie de son impact sur les autres, le monde

  • Il ne rejette pas ses qualités physiques qui font de lui un homme et exprime sa masculinité sans renier sa féminité et vice versa

  • Il est ouvert et en constante évolution

 

Une femme apprécie que :

  • On l’écoute et que l’on fait attention à elle

  • Elle est autorisée à exprimer ce qu’elle ressent sans se sentir jugée

  • Elle peut compter sur celui qu’elle aime

  • Elle se sent comprise dans ce qu’elle vit

  • Elle reçoit des témoignages d’amour et d’affection

  • Elle a le sentiment d’avoir de l’importance pour ceux qu’elle aime

  • Elle se sent désirée en tant que femme

  • Elle se sent respectée et a l'impression d'avoir quelque chose en plus

 

Un homme apprécie que :

  • Il est accepté tel qu’il est et qu’on ne lui demande pas de changer

  • Il est encouragé dans ses aspirations

  • On approuve ses décisions

  • On lui fait confiance en lui laissant trouver des solutions

  • On apprécie ce qu’il fait pour nous et on lui fait savoir

  • On ne fait pas trop cas de ses erreurs

  • On le valorise et on lui dit qu’il est différent

 

Le Masculin Féminin en Psychanalyse

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